Entrelune

                                                                                     Mercredi 11 mars en l'an 2009, à Strasbourg

    Arrivée depuis la veille au soir dans un Hôtel où beaucoups de cultures se croisées, je me demandais quelles créatures avait bien pu logé dans un endroit pareil !!!

C'est au retour du musée d'art moderne et comtemporain de Strasbourg que j'eu une entrevenue avec une des créatures locales. En effet vers 17 heures nous rentrâmes à pied à l'hébergement au travers de la vieille ville.

Voici d'ailleurs quelques clichés:

Bon pour en revenir à mon histoire, c'est suite à cette charmante déambulations dans la vielle ville de Strasbourg que j'ai rencontré un dénnomé Friedl. Il vivait dans les sous sol du Ciarus et adoré se prendre une pinte de bière à la maison de la choucroute que l'on voit en photos ci dessus. De nature très peu farouche, il aime particulièrement faire découvrir ces lieux gastronomiques préférés, même si la boisson l'encourage fortement en ce sens.

La chansonnette de Friedl

"C'est à une heure tardive que je vais m'endormir

Ayant festoyé à n'en plus pouvoir

En charmantes compagnies allant gaiment m'assoupir

Si amical est cette ville chaque soir"

Autre croquis de Friedl en pleine activité quotidienne:

O la Loraine!!! pays peuplé par toutes sortes de créatures fantastiques toujours plus interescentes à chaque entrevue ...

Désolé mais je n'ai pas réussi à les prendre en photos car ces créatures sont assez farouches quoi que lorsque qu'elles ont absorbés une bonne dose de liquide,elles sont prêtent à nous livrer moult confidences!!!

D'ailleurs certains souvenirs m'ont été occultés, mais que cela ne vous inquiètes pas, chaque jours sera raconté, toutefois au gré des aléas de ma mémoire.

La promesse au vampire

L'ombre du corps est parmi le silence

Résonne sur le beffroi ton visage tristement

Ton regards de marbre cherche encore désespérément

Les larmes écarlates qui réjouissent l'enfance

Balayant sur l'horizon les dernières potences

J'effleure de ma blanche main, le chant

Des derniers offices qui oublie l'enchantement

Du ballets de voiles noires et d'encens en fragance

Ange de pierre, vit il en toi encore, ce coeur ?

Celui liant mon âme et frissonnant à l'heur

Où l'ensorceleuse Lune montre un doux visage

Prisonnier du caveau que recouvre le lierre

Je ferai pour toi le dernier des voyages

Aimant à jamais l'esclave du sang, à la froideur de pierre

Tant que mon corps

Tant que sur mon corps pourra des roses peindre

A l'heure où sous la lune nous aimons nous voir

Et sur l'herbe tendre nous nous laissons choir

Pourrons la nuit durant nos âmes encore s'étreindre

Tant que mes mains pourrint les cordes atteindre

Du doux Psalterium à l'entendre m'émouvoir

Tant que sans toi, la vie ne peut se concevoir

De retenir les larmes que mon coeur ne peut feindre

Je ne souhaite jamais ton visage oublier

Mais quand notre berceuse sera galvauder

Les flammes évanouïes et les roses frémir

Je ferais en sorte que mon esprit se voile

Je t'offrirai à jamais mon dernier sourire

Et de mon sang ternir la plus belle de tes toiles